Poursuite du périple, un an plus tard... visite éclair d'un mois pour élucider la question des blocages de la production vivrière en Afrique ! Vaste champ et grande ambition...
Restreignons: prenons le coton, pratiqué depuis quelques décennies et les cultures céréalières en place ici depuis la nuit des temps.
Ajoutons la culture du maïs pratiquée en rotation avec le coton de façon "obligatoire" depuis quelques décennies.
Analysons la situation actuelle de la relation entre ces deux là, à la lumière de données beaucoup moins palpables qui se jouent à des échelles plus larges : cours du coton et du pétrole (et donc des engrais) par exemple. Entre en scène la sacro sainte sécurité alimentaire qui n'a de sacro saint que le terme mais qui cache tout de même au delà de son caractère politique les moyens de subsistance d'êtres humains relativement nombreux.
En clair, je m'intéresse ici, au Faso, à la place de la culture du maïs, à son développement et à la structuration de sa filière.
Puisqu'il s'agit d'un blog et non pas d'un mémoire ou d'un plaidoyer, je m'en vais de suite aux choses concrètes: le Faso et ses terres nourricières en images:
Greniers dans le village de Dramandougou, région des Cascades
Le semis du coton transgénique par les femmes.
Suite au prochain numéro!
samedi 20 juin 2009
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